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LE SYNDICAT

Les travaux du SNJ

Presse Magazine

Société française de revues (Michel Buh)

Des rédactions faites de pigistes travaillent sur des titres à vie délibérément limitée créés à partir d’une recherche d’annonceurs.

On demande à un rédacteur de s’occuper de l’emplacement des photos dans l’article. Une photo livrée pour/avec un article a été utilisée pour un autre.

L’Express-L’Expansion (Roularta)

Depuis le rachat par Roularta, sont arrivés un nouveau directeur de rédaction et de nouveaux rédacteurs en chef (les anciens ont tous été démis de leurs fonctions).

Dix groupes de travail ont été créés, fonctionnant entre direction et hiérarchie, pour repenser le travail. But exprimé : doubler la rentabilité de l’entreprise (de 5 % à 10 %)

Rubriques

Des rubriques ont été fusionnées :

- Société et découverte

- Réussir et économie

- investigation et France

François Busnel est pressenti pour prendre la rubrique livres de L’Express tout en gardant "Lire"

Secrétariat de rédaction, maquette

Au secrétariat de rédaction : évocation de la mise en place de nouveaux process.

Un nouveau circuit de la copie est envisagé, avec suppression des correcteurs et fusion de la révision et du SR

Les rédacteurs donneraient directement leurs titres.

L’idée ressort que la maquette récupère la photogravure, aujourd’hui sous-traitée ; elle serait ramenée en interne pour "sauver l’emploi".

Le bruit d’une baisse de 20 % des effectifs court.

Le "ménage" (baisse d’effectifs) est déjà fait dans d’autres titres.

Rédacteurs

Les rédacteurs permanents doivent rendre dorénavant leurs papiers pour le support papier, et, plus développés, pour le web.

Ce développement crée des embauches sur le web.

La DRH est en train de baisser des salaires au coup par coup (sur les postés, individuellement) Tout le monde change.

La Tribune de l’assurance ,Groupe Wolters Kluwer : Duflot Florence

Travaillant à distance, je lis votre mail et réponds à vos questions pour votre enquête Internet multimédia : Adhérente au SNJ, je suis permanente à 4/5eme au mensuel tribune de l’assurance ,Groupe Wolters Kluwer , ex groupe liaisons sociales, à Rueil Malmaison.

Pour notre propre titre nous n’avons pas de site Internet et en réclamons un au moins pour consulter nos archives depuis plusieurs années mais n’avons toujours rien. Seul la 1ere page de présentation de notre titre est accessible via le Groupe.

Maintenant d’autres titres comme entreprises et carrières , le mensuel LS ont un site Internet et je suppose des responsables web.Je ne connais pas leur statut.

Pour les droits d’auteur le groupe a passé un accord avec la Scam et nous avons été payés de nos droits d’auteur Internet sur 2004 et 2005.

Les éditions LVA : Pierre Bontemps

1) Il existe trois sites Internet pour les éditions LVA. Un consacré à nos titres moto (Moto Légende et La Vie de la Moto), un autre pour les titres auto (La Vie de l’Auto, Rétroviseur et Autoretro), et un troisième pour les titres collection (Antiquités Brocante et Collectionneur & Chineur). A ces trois sites s’ajoutent trois sites pour des événements que nous organisons :

les Coupes Moto Légende, le Salon Moto Légende, et Milevia, plus un site pour une boutique en ligne qui commercialise nos produits dérivés et de la librairie traditionnelle. Enfin, il existe un site Intranet pour la communication interne du groupe.

2) Les journalistes des titres n’interviennent que très ponctuellement sur les sites auto, moto et collection ; en fait uniquement pour rédiger les sommaires qui annoncent les prochains numéros. Tous ces journalistes sont des salariés du groupe et sont titulaires de la carte de presse. Cependant, nous restons vigilants car il existe un projet de vente en ligne d’articles.

3) Il n’existe pas encore d’accord sur les droits d’auteurs mais des négociations vont commencer début 2007. Le SNJ, en collaboration avec la CGT, également représentée dans l’entreprise, a programmé des réunions avec les journalistes en fixe et les pigistes pour connaître les souhaits de chacun. Nous avons également recueilli un nombre assez conséquent d’accords déjà signés dans des groupes de presses qui présentent des similitudes avec le notre. Une première proposition verbale a été avancée par la direction en cas de réutilisation ou de vente d’articles ou de photos. Elle serait prête à verser 10 % de la facture aux auteurs. Ce qui a été refusé en bloc. En concertation avec les salariés, nous n’envisageons pas de descendre sous les 50 % de la facture, comme c’était l’usage dans notre entreprise il y a encore quelques années. De plus, nous allons nous opposer à une mutualisation de ces sommes et faire en sorte qu’elles aillent aux véritables auteurs (photographes pour les photos, rédacteurs pour les textes, photographes, rédacteurs, mais aussi SR et maquettistes pour les articles complets).

Notre gros soucis est de mettre en place un système de contrôle pour la répartition et le versement de ces sommes.

Bayard

Les sites sont le prolongement des rédactions, nourris par les articles déjà parus ou en cours de parution en temps réel et des papiers faits par les journalistes des rédactions. Quelques journalistes web sont rattachés à ces sites.

Les archives sont ouvertes sur abonnement ; le reste est ouvert à tous.

Différents types de mutualisation, regroupements, polyvalence ont été testés ou mis en place à Bayard. Les titres ont échappé à quelques autres.

De nombreux changements hiérarchiques ont accompagné ces opérations.

A la presse jeune, il existait déjà, historiquement, des "couplages" de petits titres avec de grands titres dont ils émanaient (avec rédaction plus ou moins commune). Cela s’est de plus en plus répandu dans ce secteur important de l’entreprise, celui qui couvre le plus grand nombre de titres.

Une étude faite par la commission technique économique du CE a révélé des rapprochements très divers entre deux titres : DA, chefs de rubrique, rédacteurs, SR maquettistes à temps partagé entre deux titres, sans que la rédaction soit par ailleurs commune aux deux titres, ni que la répartition du temps soit la même entre deux personnes ni entre deux services (ainsi, le service de SR d’un titre peut être constitué d’un temps plein qui lui est propre et d’un deux tiers de temps, et le service de SR de l’autre titre de trois temps pleins, plus un tiers de temps (le même salarié dans les deux cas), à cheval sur les deux titres. Des rédacteurs se partageraient entre deux titres selon des fractions comportant deux décimales !

D’autres types de "mutualisation des moyens", accompagnés de déménagements internes, ont été expérimentés, particulièrement dans le département senior : regroupement des iconos, qui, dans un même service, gardent leur titre ou se partagent entre deux, selon les personnes, et se remplacent les uns les autres sur d’autres titres que les leurs pendant les congés ; articles déclinés sur deux titres, avec maquette, réécriture, éditing différents d’un titre à l’autre (en principe situation provisoire), un seul reportage pour deux papiers de mode dans deux titres différents (abandonné : "n’a pas bien marché"), velléité d’étendre ce type de reportage ou de recueil de doc pour les rédacteurs de plusieurs titres au tourisme, à la beauté, à la santé (le refus fort des rédactions l’a évité), déclinaison d’articles d’un support à l’autre ou d’un titre à l’autre entre papier et web.

Il y avait eu antérieurement création de "directeurs de pôles" sur plusieurs titres, avec (confusion des métiers) un rôle "à la fois éditorial et commercial".

En parallèle, décision annoncée de profiter des départs naturels en évitant de les remplacer, licenciement de pigistes réguliers dont le travail est donné à des chefs de service ou des occasionnels, baisses de tarifs.

accès pour tous