Revue de presse

« Une vision comptable étriquée et néfaste. » C’est en ces termes que les élus du comité central d’entreprise (CCE) de Radio France ont éreinté, mardi 21 juillet, les projets de leur direction, qui envisage « un éventuel plan de départs volontaires de 350 postes », comme le précisait récemment Mathieu Gallet dans un entretien au Monde.  

Invitée de France Culture ce mercredi matin, la ministre de la Culture à répondu au PDG de Radio France et aux syndicats qui ont proposé mardi en CCE une alternative au plan de départs volontaires annoncé par Mathieu Gallet.  

«Je suis à la disposition de Mathieu Gallet (...). La méthode est simple, il suffit de prendre son téléphone», a déclaré la ministre de la Culture ce mercredi sur France Culture...  

Selon les syndicats, le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux permettrait d'éviter le départ volontaire de 350 salariés. Mathieu Gallet,le PDG de Radio France, a indiqué qu'il examinerait cette solution.  

Caroline Got est nommée au poste de directrice de la stratégie et des programmes. Vincent Meslet devient directeur de France 2.  

Le comité central d’entreprise de la Maison ronde se réunit mardi. Le bras de fer entre Fleur Pellerin et Mathieu Gallet se durcit sur fond de crise sociale et managériale. 350 emplois sont dans la balance.  

Dans une interview au « Monde », le patron de Radio France évoque un plan de départs volontaires de 350 postes. L’annonce de ce projet en mars dernier avait provoqué la plus longue grève de l’histoire de Radio France.  

Le PDG de Radio France Mathieu Gallet a confirmé ce jeudi qu'il envisageait "un plan de départs volontaires de 350 personnes", afin de parvenir à un retour à l'équilibre des comptes en 2017.  

De plus en plus de collaborateurs précaires, des contrats de plus en plus courts... La récente crise à Radio France a remis en lumière le dossier de la précarité. Un mode de gestion qui pèse lourd dans les comptes de la Maison Ronde.  

La première saison de Mathieu Gallet à Radio France s’achève avec des audiences mitigées, en raison notamment de la grève historique du printemps. Alors que la médiation instaurée en avril prend fin la semaine prochaine, l’entreprise se prépare à un plan de départs volontaires de 350 postes.  

Une semaine après le début d’un premier mouvement de grève, quatre syndicats de l’Agence France-Presse (AFP) – la Confédération générale du travail (CGT), Force ouvrière (FO), l’union syndicale Solidaires (SUD) et la Confédération française de l’encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC) –, représentant la majorité du personnel, ont voté à une large majorité mercredi 15 juillet, lors d’une assemblée générale, une grève de vingt-quatre heures.  

Fragilisé par le long conflit à Radio France, son PDG, Mathieu Gallet, a tenté de reprendre la main en mettant fin jeudi soir aux fonctions du directeur de France Culture, Olivier Poivre d’Arvor, qui dénonce un «limogeage».  

Alors que la grève à l'AFP est entrée dans sa troisième journée, les syndicats SNJ et CFDT appellent à la suspension du mouvement.  

Les syndicats représentatifs de l'AFP (CGT, SNJ, CFDT, FO, Sud et CGC) appellent à une grève de 24h demain 7 juillet à 14h30.  

La ville de Toulouse ne veut plus éponger le déficit.  

Fustigeant un déni de dialogue social, tout le spectre syndical de l’Agence France-Presse est vent debout après les annonces de la direction.  

La cour d'appel de Paris a condamné à un euro de dommages et intérêts un ex-journaliste pigiste de France 24, poursuivi pour "diffamation" par un chef de service de la chaîne dont il avait modifié la fiche Wikipédia.  

Le tribunal de commerce de Toulouse a prononcé vendredi la liquidation judiciaire avec effet immédiat de Télé Toulouse (TLT), une des plus anciennes télés locales de France.  

Dernière polémique politico-médiatique à Londres : David Cameron et des élus de droite reprochent à la BBC son intention de rester «impartiale» face aux djihadistes de l'État islamique.  

BOBIGNY (France), 30 juin 2015 – Cette nuit-là à Montreuil, personne n'a pensé à éponger la flaque de sang. L'ambulance a ramassé le corps, les enquêteurs ont relevé les impacts de balle, un suspect a été arrêté et une première dépêche est partie. L'histoire aurait dû en rester là, celle d'une énième « règlement de comptes », probablement entre trafiquants.